haute-mer
Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 1974 dans l'article Les enjeux économiques et militaires de la conférence sur le droit de la mer, par Jean-Yves Chapin.
En contrepartie du droit reconnu à tout Etat d’étendre à 12 milles ses eaux territoriales, il était prévu de maintenir un couloir de haute-mer caractérisé par une totale liberté de navigation et de survol dans les détroits internationaux ne faisant l’objet d’aucun traité particulier et dont les eaux territoriales risquaient de se trouver dans leur totalité sous la souveraineté des Etats riverains.