haut-mazaruni
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1981 dans l'article Vers un regain d'autoritarisme en Guyana, par Bernard Cassen.
C’est le prix à payer pour obtenir un financement de 133 millions de dollars que le Fonds, agissant conjointement avec la Banque mondiale, consent pour la mise en route du gigantesque projet hydroélectrique du Haut-Mazaruni (3), devenu une des justifications de la pérennité du régime.