hallebarde
Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 1956 dans l'article Comment Paris recevait au XVIIIe siècle l'envoyé d'un souverain étranger, par Jules Bertaut.
Le carrosse est précédé de soixante cavaliers du guet en grand uniforme, accompagnés de tambours et de trompettes, de vingt-quatre pages du nouvel ambassadeur, habillés de velours bleu, montant des chevaux superbes, de quarante suisses « tout en or », hallebarde à la main, de la musique de l’ambassadeur, en rouge, d’un timbalier nègre, d’un timbalier blanc, de deux trompettes qui sonnent lorsque la musique a cessé.