haillonneuses
Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 1985 dans l'article La vieille Maragrazia.
Un amas de loques crasseuses et sans couleur, toujours les mêmes, été comme hiver, déchirées, haillonneuses, d’où s’exhale une puanteur faite de sueur rancie et de toutes les ordures de la rue.