gumilev

Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 1985 dans l'article Le geste essentiel, par Nadine Gordimer.

Le critique anglais John Bayley (14) écrit d’Anna Akhmatova : "Des vers violemment laconiques à la fin de Requiem lui rappellent son mari mort, son fils en prison… C’est un bon exemple parmi d’autres du pouvoir de la grande poésie de généraliser et de parler pour l’homme en situation extrême, car en fait elle n’avait sans doute jamais aimé Gumilev, dont elle était séparée depuis des années, et son fils avait été élevé par sa grand-mère.