grandrieux
Première apparition dans le Monde Diplomatique en février 2000 dans l'article Des films français fascinés par le sordide, par Carlos Pardo.
Un carton offre tout de même une dernière chance au spectateur en l’invitant à quitter la salle avant l’affligeant dénouement final… Après avoir imaginé le viol, puis le meurtre de sa propre fille dans un bain de sang complaisamment filmé, le boucher entrevoit enfin le bonheur à travers la relation incestueuse avec elle, cette fois-ci réellement consommée… Autre exemple : Sombre, de Patrick Grandrieux (1998).
Un e autre apparition
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