gradenigo
Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 1955 dans l'article À la cour pontificale, par Constantin Antoniade.
» Le dernier orateur accrédité auprès de lui, Luigi Gradenigo, le décrit ainsi : « Le pape Léon était grand de faille, avec la tête très grosse ; il avait une très belle main et était grand discoureur (bellissimo parlatore) ; il promettait assez et ne tenait jamais,.