graciella
Première apparition dans le Monde Diplomatique en février 1990 dans l'article Pour un métissage culturel, par Pierre Gaudibert.
Autour de cet axe directeur, des expositions individuelles ou collectives étaient présentées dans divers bâtiments de la capitale cubaine, surtout dans la vieille Havane : les textiles de l’Amérique latine et les messages graphiques des Noirs de l’Afrique du Sud alternant avec des photographies censurées au Chili ou des calligraphies du monde arabe ; des sculptures populaires représentant Simon Bolivar jouxtaient des jouets créés par des artistes du Mexique, des photographies de Sebastiao Salgado (Brésil) et de Graciella Iturbide (Mexique), des jouets africains, des toiles du peintre cubain Roberto Diago, des dessins du jeune artiste cubain José Bedia, des œuvres du graveur égyptien Ahmed Nawar, du sculpteur colombien Villamizar, de l’artiste philippin Roberto Fileo, etc.