goytisolo

Première apparition dans le Monde Diplomatique en février 1974 dans l'article Une culture conditionnée, par Juan Goytisolo.

Mais si nombre d’auteurs étrangers aussi peu orthodoxes que Gramsci, Trotski ou Marcuse sont en vente dans les librairies de Barcelone et de Madrid, l’attitude de la censure envers les dissidents et les hétérodoxes espagnols n’a changé qu’en apparence : pour ne citer qu’un exemple, les deux romans les plus significatifs et les plus importants de 1973, Recuento (Inventaire) de Luis Goytisolo et Si te dicen que cai (Si l’on te dit que je suis tombé) de Juan Marsé, viennent de paraître au Mexique faute d’avoir été autorisés à être publiés dans notre pays.

25 autres apparitions

D'autres articles du Monde Diplomatique qui contiennent ce mot :

  1. Poésie et chanson d'urgence en Espagne, par Eutimio Martin
  2. Outrages non posthumes au drapeau rouge-jaune-rouge de l'Espagne franquiste, par Marie-Françoise Allain
  3. Nos précédents articles
  4. Socialisme minimal en Espagne, par Ignacio Ramonet
  5. La culture et les marchands, par Philippe Videlier
  6. Voyage aux confins du Maroc, par Kenneth Brown
  7. Le « cinéma berbère », miroir de la société, par Carlos Pardo
  8. Une expérience reniée, par Eduardo Haro Tecglen
  9. Précisions
  10. Que peut la littérature ?, par Juan Goytisolo & Günter Grass
  11. L'abolition du territoire, par Christian Salmon
  12. Ce que seuls les romans peuvent dire, par Guy Scarpetta
  13. Pouvoirs du roman, par Guy Scarpetta
  14. Désertion des souvenirs, par Milan Kundera
  15. Splendeur du blasphème, par Guy Scarpetta
  16. Une leçon de ténèbres
  17. A la louange du roman, par Carlos Fuentes
  18. Pasolini contre la bien-pensance, par Guy Scarpetta
  19. Cauchemar nazi aux États-Unis, par Guy Scarpetta
  20. Dans ce numéro
  21. Notes d’autocratie, par Juan Goytisolo
  22. Danilo Kiš ou l’art du mentir-vrai, par Guy Scarpetta
  23. Le printemps de Milan Kundera, par Guy Scarpetta
  24. Lire sur papier, lire sur écrans
  25. Quand l’art du roman s’empare de l’histoire, par Guy Scarpetta