goémon
Première apparition dans le Monde Diplomatique en février 1975 dans l'article La poésie et les océans d'Afrique, par Gerald Moore.
A la fin, l’image de la « manne » lui permet de refaire le même mouvement à l’envers, qui le ramène de la manne forestière (« certaine essence de limba ou de teck ») dont se nourrissent les esprits (« mânes », outre le jeu de mots sur « manne », est une extension de « l’ombre » dont il est question deux vers plus haut) à la grève balayée par le vent, au goémon, au sel et au phosphore où le poème avait commencé.