glycoprotéiques

Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 2009 dans l'article Combinaisons fatales.

La neuraminidase (NA) comporte quant à elle neuf sous-types, mais seuls les N1 et N2 sont pathogènes chez l’homme parce qu’ils « ressemblent » aux enzymes glycoprotéiques humaines comme les amylases salivaires ou intestinales.