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Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 1967 dans l'article Un domaine où la France brille d'un éclat vif, par Louis Leprince-Ringuet.
La France, qui n’avait pas d’accélérateur de particules notable après la guerre, a construit tout d’abord celui de Saclay de trois milliards d’électrons-volts, appelé Saturne : il a servi à former des équipes de physiciens et de techniciens capables de faire d’excellentes expériences dans le domaine des particules, soit à Saclay, soit surtout auprès du grand synchrotron de 25 GeV du C.
Deux autres apparitions
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