gardes-sentinelles

Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 1993 dans l'article Les nouveaux forçats du travail-esclave au Brésil, par Maurice Lemoine.

Le lendemain, dès l’aube, ils découvrent le labeur : d’infernales journées de douze heures, sous la surveillance de gardes-sentinelles — les jagunços — constamment armés.