gandourah

Première apparition dans le Monde Diplomatique en juin 1975 dans l'article Le film colonial et l'homme maghrébin, par Pierre Boulanger.

Après avoir mis à mal toute une troupe de bandits du désert, Rudolf Valentino réussit à emporter dans les plis de sa gandourah une danseuse orientale, pâmée de frissons délicieux (la Viennoise Wilma Banky) dont il avait, un temps, douté de la pureté.