gandolfini

Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 2007 dans l'article Les gangsters neurasthéniques des « Soprano », par Geoffrey O’Brien.

La familiarité réconfortante d’une présence télévisuelle bien-aimée devient, à travers le Tony Soprano campé par James Gandolfini, un jeu de miroirs nous entraînant dans des abîmes de perplexité toujours plus profonds.