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Première apparition dans le Monde Diplomatique en février 2000 dans l'article Un humanisme à refonder, par Patrick Viveret.

Ces prétendus libéraux sont, en effet, d’un antilibéralisme culturel acharné — au nom, comme le dit Francis Fuku yama, du « dieu de la Nature » — et d’un antilibéralisme politique non moins virulent, qui s’exprime principalement par les politiques répressives en matière d’immigration, la libre circulation des capitaux n’ayant rien à voir, selon eux, avec celle des humains.