foutrement
Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 2011 dans l'article Le procès de M. Barack Obama, par Eric Alterman.
Alors chef de cabinet de la Maison Blanche, le toujours délicat Rahm Emanuel qualifia de « foutrement demeurés » les progressistes qui menaçaient de retirer leur soutien au président lorsque celui-ci, pour calmer la bronca soulevée par sa réforme du système de soins, abandonna le projet d’assurance publique — il s’est ensuite excusé auprès des attardés mentaux, mais pas des progressistes… De son côté, le porte-parole de la Maison Blanche, M.