forcella

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 1977 dans l'article Italie : l'impossible rôle de médiateur entre le public et le pouvoir, par Percy Allum.

En 1959, un des meilleurs journalistes politiques, Enzo Forcella, expliqua sa démission de la Stampa de Turin, à la suite du refus de publier ses commentaires du congrès du parti socialiste, dans un essai resté célèbre, Mille cinq cents lecteurs : « Un journaliste politique, dans notre pays, écrivait-il, peut compter sur à peu près mille cinq cents lecteurs : les ministres, tous les sous-secrétaires d’Etat, un grand nombre de parlementaires, les dirigeants des partis, les syndicalistes, les hauts prélats et quelques industriels qui veulent se montrer informés.