fixers
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1992 dans l'article Indélogeable pègre japonaise, au cœur de l'économie spéculative, par Philippe Pons.
Auparavant, ils se tissaient grâce à des « éminences grises » (des fixers, diraient les Américains) qui jouaient les intermédiaires : ce fut notamment le cas de Yoshio Kodama, ancien chef des réseaux d’espionnage japonais en Chine, ou de Ryuichi Sasagawa, que l’on persiste à considérer à l’étranger (en France, en particulier) comme un grand « bienfaiteur de l’humanité », et qui était lié, notamment, au grand « parrain », Kazuo Taoka.