filerait
Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 2011 dans l'article L’atout gazier, par Jean-Pierre Séréni.
Officiellement, de nouveaux forages font craindre que le gisement ne soit pas d’un seul tenant, mais fractionné en quatre, ce qui implique un important programme de travaux pour évaluer au plus juste les réserves de North Dome ; une opération toujours un peu opaque et un sujet sur lequel les producteurs du monde entier sont volontiers discrets… Dans le milieu circule une autre version : une partie du gaz de South Pars filerait vers la partie qatarie du gisement, plus intensivement mise en valeur, alors que l’Iran, soumis à un embargo par les Etats-Unis, aurait plus de mal à trouver des partenaires ; Total, par exemple, ayant renoncé à y intervenir sous une forte pression politique.