expectorant
Première apparition dans le Monde Diplomatique en juin 2008 dans l'article Innocentés par l’ADN, par Marie-Agnès Combesque.
La cour d’appel du Massachusetts a d’ailleurs précisé à une personne suspectée de viol ayant imprudemment expectoré un crachat dans la rue — aussitôt récupéré par la police — qu’« en la circonstance l’accusé expectorant n’est pas fondé à faire valoir le caractère privé de son crachat (5) ».