ex-messageries
Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 2005 dans l'article Naufrage industriel pour la marine marchande, par François Ruffin.
Ne subsistent que 500 navigants français, dont la moitié d’officiers, à bord des 15 bateaux enregistrés sous Kerguelen : il s’agit des résidus de l’ex-société nationale CGM, ex-Transatlantique, ex-Messageries maritimes, ex-« compagnie aux cent navires » et aux plusieurs milliers de marins, dépecée, d’un plan social au suivant, depuis 1974 avec la fin du France, et privatisée, revendue, en 1996.