ex-caudillo

Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 2005 dans l'article Riggs Bank, blanchisseuse des dictateurs, par Alain Astaud.

Grâce au savoir-faire et au dévouement de cette vénérable institution, un système financier complexe et illégal a été échafaudé en faveur de l’ex-caudillo, avec la complicité de banques de diverses nationalités : les américaines Citigroup et Bank of America, la britannique HSBC, la Banco de Chile, l’espagnole Banco Santander… Dans ses conclusions, le document sénatorial n’exclut pas l’existence d’autres comptes.