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Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 1977 dans l'article Progrès et limites de la réforme linguistique au Canada, par Keith Spicer.

Le Parlement créait, en même temps, le poste de commissaire aux langues officielles – genre d’ « ombudsman linguistique », – chargé de veiller à l’application de la loi par les cinq cent mille fonctionnaires qu’emploient les cent quatre-vingts ministères et organismes de l’Etal canadien.