estrangon

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1998 dans l'article Voyage au cœur des laboratoires du Front national, par Christian de Brie.

Gérard Estrangon, président de la Ligue des droits de l’homme, « on a, sans prévenir l’artiste — qui a intenté un procès -, démonté au marteau-piqueur la seule œuvre d’art public contemporain de la ville, remplacée par un olivier, et on a commandé à un sculpteur local une statue de l’enfant du pays, le grand acteur Raimu, aux sympathies vichyssistes connues.