estanciero
Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 1978 dans l'article L'Argentine est ici, par Carmen Castillo.
Très isolés, ils vivent avec leur famille dans de petites maisons et sont eux-mêmes surveillés par un « capitan », contremaître qui habite près de la maison du maître, le « casco », de style européen, meublé français, où l’estanciero, qui aura parfois son avion et sa piste d’atterrissage privés, ne vient qu’épisodiquement et vit à Buenos-Aires.