entraîneuses
Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 2007 dans l'article Penser la ville pour que les riches y vivent heureux, par François Ruffin.
Certes, la « rue de la Rép’ » a perdu l’effervescence de ses années 1960, quand elle était peuplée de marins et de dockers, avec « des bars très renommés, des tailleurs, des bijoutiers, des boîtes de nuit, même du piano-bar et des entraîneuses », et l’avenue a depuis épousé la dégringolade du port.