enfermable

Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 2000 dans l'article Tourisme moderne entre misère et business, par Franck Michel.

La société préfère sans aucun doute le vagabond appauvri et même déchu de toute humanité, mais « acceptable » et présent à ses côtés, auquel on cède volontiers une pièce de temps en temps, au vagabond rebelle et fuyard, « inacceptable » (donc « enfermable » !