embrayait
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 2010 dans l'article Gouvernements sous la coupe des banques : l'urgence du contre-choc , par Frédéric Lordon.
Là où les chocs « ordinaires » considérés par Naomi Klein venaient généralement du dehors — coups d’Etat, contre-révolutions, catastrophes naturelles —, créant un état de désordre à la suite duquel seulement l’agenda néolibéral embrayait, le choc présent a été entièrement produit de l’intérieur et se trouve exploité par les forces qui auraient dû en être définitivement disqualifiées… mais trouvent encore l’audace d’en tirer l’occasion d’une avancée supplémentaire.