embouchures 05/1965

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 1965 dans l'article Le Grand-Nord canadien, centre d'alerte militaire et réservoir de richesses minérales, par Jean-Pierre Tainturier.

Cela tient à plusieurs raisons, dont les principales sont le prix exorbitant des travaux de recherche dans ces régions, le prix de la nourriture, qui, en grande partie, doit venir par avion, et les salaires très élevés, assortis de primes d’isolement qu’il faut payer aux ouvriers ; à cela s’ajoute l’extraordinaire difficulté d’accès des côtes, non pas tant en elles-mêmes (sauf pour la baie James) mais en raison de la présence, du mois de novembre au mois de juillet, de la glace de banquises, qui prend de part en part les fjords et les embouchures de rivière, et des glaces de mer, deux fois plus épaisses que celles du Saint-Laurent, au point de rendre inaccessibles ces régions, par voie de mer, durant plus de la moitié de l’année.

Ce mot partage le même lemme que « embouchures », probablement une version au singulier, au pluriel, conjuguée, … ou une erreur :

• embouchure 11/1955

D'autres articles du Monde Diplomatique qui contiennent ce mot :

1. La ruse de la raison, par Wolfgang Walter 03/1974
2. La tradition indienne et le choc du progrès, par Claude Bataillon 10/1974