eijanaika

Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 1982 dans l'article Reflets d'une société éclatée, par Max Tessier.

Mais c’est peut-être dans les derniers films de Shôhei Imamura (La vengeance est à moi, 1979, et Eijanaika, 1981) que l’on trouve la plus corrosive peinture sociale du Japon contemporain : l’auteur propose une contre-histoire populaire, dans laquelle les impulsions sexuelles et criminelles jouent un rôle fondamental dans une société rigide et répressive.