dsaï-sang

Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 1963 dans l'article Au XIXe siècle la Russie réussit à arracher à la Chine de vastes territoires, par Hélène Carrère d'Encausse.

A partir du dernier phare — Chabindabaga — établi en 1728, après la conclusion du traité de Kiakhta, elle se dirige vers le sud-ouest, jusqu’au lac Dsaï-Sang, et de là jusqu’aux montagnes situées au sud du lac Issik-Kul, nommées Tchengrichan ou Alatau-des-Kirgiz, autrement appelées encore Tian-Chan-Lou, et le long de ces montagnes jusqu’aux possessions du Kokand.