dragomans
Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 1955 dans l'article A Constantinople la vénalité était la plaie de l'empire turc, par Constantin Antoniade.
» La négociation par interprète avait de graves inconvénients : les dragomans n’étaient pas toujours de bonne foi ; ils reproduisaient mal ce que l’on voulait leur faire dire, en retouchant ou en ajoutant ; d’ailleurs la parole traduite n’a jamais l’efficacité du discours direct.