divrik
Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 1973 dans l'article Villes mortes et vivantes de Turquie, par Jean-Paul Roux.
Ce goût fut peut-être pour quelque chose dans un des faits qui caractérisent le plus leur art : l’usage systématique du répertoire humain et animal sur stuc et sur pierre pour orner les édifices laïcs (murailles de Diyarbakir) et religieux, y compris plusieurs mosquées, nonobstant les plus fermes tendances, voire les prescriptions, de la religion musulmane (mosquée de Divrik, mosquée de Diyarbakir).