digambara
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 2007 dans l'article Littérature indienne, quatre mille ans d’engagement social, par Tirthankar Chanda.
Moins combatif mais tout aussi subversif, le courant des digambara kavulu (« poètes nus »), dont la poésie érotique teluguphone, riche en images sexuelles et rythmée de vocables obscènes, a profondément secoué, au tournant des années 1970, l’élitisme de l’Inde profonde.