deterrents

Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 1963 dans l'article L'attitude négative des représentants français est interprétée à l'O. T. A. N. comme une manœuvre diplomatique, par Général Valluy.

répond que l’intégration n’a jamais empêché une nation de reprendre ses forces en cas de nécessité et que mieux vaut implanter ces dernières au préalable dans un cadre préparé à l’avance et en commun que de les mettre à la disposition d’un commandement atlantique, à l’heure nationale et dans un cadre forcément improvisé, qu’au surplus les deterrents indépendants sont absurdement onéreux, faussement indépendants parce qu’ils ont besoin au minimum d’un système d’alerte international, de fusées ou d’avions ravitailleurs américains et que non seulement ils n’ajoutent rien au déterrent général, le seul qui compte, mais qu’encore ils en compliquent le fonctionnement.