delaplane

Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 2017 dans l'article Camions pollinisateurs, par Raúl Guillén.

S’il suffit de penser aux céréales ou aux pommes de terre pour rappeler que toute l’alimentation humaine ne dépend pas des insectes pollinisateurs, leur disparition réduirait toutefois considérablement notre qualité de vie, selon le chercheur américain Keith Delaplane : « C’est dans la mesure où nous valorisons la diversité de l’offre alimentaire, avec un minimum d’atteintes à l’environnement pour la produire, que nous devons accorder une grande valeur aux abeilles mellifères et aux autres pollinisateurs (1).