daibokri
Première apparition dans le Monde Diplomatique en juin 1984 dans l'article Le thé du diwakhana, par Hassan Mela Ali Qizilji.
Bien qu’à l’heure actuelle il fût plus riche que tous les propriétaires des environs, les aghas de Daibokri et les begzadé des Faizullabegi n’en continueraient pas moins à le considérer comme un marchand d’étoffes de Sablagh il n’était pas de leur rang.