détissées
Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 2011 dans l'article Enfermées, vivantes, par Cathy Fourez.
Chaque jour, elle installait dans une rue fréquentée sa petite cuisine mobile ; à côté des bidons d’eau et des récipients gavés de pelotes non détissées de fromage de Oaxaca, de farce de huitlacoches et de chiles jalapeños, crépitait son brasero sur lequel le comal dorait les quesadillas (6) qu’elle vendait jusqu’en fin d’après-midi.