désordonnante
Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 2013 dans l'article Ibsen superstar, par Louis-Charles Sirjacq.
Strindberg, qui rend manifestes les fantômes intérieurs et accompagne la vitalité désordonnante des désirs, fait peur, tandis qu’Ibsen rassure, car il déploie des thématiques et des codes stylistiques qui font désormais partie des conventions dominantes — une histoire avec des personnages, une intrigue et une thématique « réalistes », et, gâteau sur la cerise, des symboles — le canard sauvage, la tour ou la mer qui poétisent le réalisme.