dégourdit
Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 2000 dans l'article Une usine tellement moderne..., par Gilles Balbastre & Stéphane Binhas.
Pourtant, cela correspond à un besoin à la fois physiologique — en marchant, on réactive des fonctions circulatoires, on se dégourdit les jambes — et psychologique : on va croiser un collègue, échanger quelques mots.