déferrement
Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 2022 dans l'article Au bon vouloir des procureurs, par Raphaël Kempf.
L’humiliation, la violence, l’infériorisation liées à la garde à vue et au déferrement sont systématiquement minimisées, voire ignorées, par ceux et celles qui en sont les principaux responsables : les procureurs et leurs substituts, tellement habitués à « gérer » des dizaines, voire des centaines, de gardes à vue par week-end qu’ils en banalisent les effets sur celles et ceux qui en sont victimes.