décasyllabe

Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 2010 dans l'article Ni compté ni rimé, par Jacques Roubaud.

Les mètres classiques (spécialement l’alexandrin) ne disparaissent pas pour autant, mais survivent sous trois variantes : — l’alexandrin maintenu de Paul Valéry (qui emploie aussi un décasyllabe « fossile ») ; — l’alexandrin arrêté : celui de Guillaume Apollinaire, que reprend Louis Aragon ; — l’alexandrin évolué de Raymond Queneau.