dé-définition
Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 2000 dans l'article Pour que Beaubourg soit universel !, par Régis Debray.
Car les relativistes, qui ressassent la « dé-définition de l’art », clament la fin des normes esthétiques, des hégémonies et des critères uniques de validité, sont les premiers à enfermer la critique et l’exposition dans le morne absolu des intolérants, l’entonnoir canonique New York/Kassel/New York.