cyber-abstraction
Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 2000 dans l'article La procédure silence, par Paul Virilio.
Pas seulement ces arts océaniques ou ceux de Thulé, mais aussi bien le geste de l’artiste qui apportait d’abord son corps — habeas corpus —, ces arts corporels dont l’acteur et le danseur demeurent les vestiges, en attendant les dégâts de la virtualisation chorégraphique, la danse grotesque des clones d’une cyber-abstraction qui serait à la danse ce que le codage de l’hyper-abstraction numérique est déjà à la peinture de chevalet.