cueilleuses

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 2018 dans l'article Les laissés-pour-compte du miracle indien, par Dalel Benbabaali.

On retrouve ces stratégies patronales dans les plantations de thé du Kerala, où la main-d’œuvre adivasi issue des régions pauvres de l’est de l’Inde (Jharkhand), considérée comme plus docile et rémunérée à la pièce, a peu à peu remplacé les cueilleuses dalit, qui bénéficiaient d’emplois permanents et se montraient plus combatives, comme l’explique Jayaseelan Raj (7).