cruciformes
Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 2017 dans l'article Quand Le Corbusier redessinait Paris, par Olivier Barancy.
) Sur cette immense emprise, détruite donc à l’exception des bâtiments remarquables (2), sont implantées des tours cruciformes de deux cents mètres de hauteur (3) à usage de bureaux, identiques et équidistantes, de part et d’autre du boulevard de Sébastopol, selon une composition symétrique et formaliste ; puis au milieu d’espaces verts sont édifiés des immeubles d’habitation à redents, d’environ cinquante mètres de haut, entraînant une densité de mille habitants à l’hectare.