coqblin
Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 2012 dans l'article L’arabe, une « langue de France » sacrifiée, par Emmanuelle Talon.
Certes, les parents souhaitant voir ouvrir un cours d’arabe peuvent en faire la demande par écrit au recteur d’académie ; mais ils le font rarement, par manque d’information ou en raison d’une mauvaise maîtrise du français : « Ce n’est pas le genre de population qui se mobilise pour obtenir des ouvertures de classe », constate Mme Christine Coqblin, enseignante d’anglais au lycée Diderot, à Paris.