coparticipante

Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 1965 dans l'article Vers la production en commun, par Maurice Byé.

Reconnaître la participation à part égale dans l’exploitation des terrains retenus pour l’association de l’Algérie et de la France, de l’apporteur de gisements et du principal apporteur de fonds, cela implique, comme l’avaient déjà reconnu les accords de type Mattei, que le pays d’implantation n’est pas seulement puissance fiscale mais coparticipante à la formation du capital.