contre-expertise
Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 1973 dans l'article La passivité de l'ONU appelle la création de systèmes de protection plus efficaces, par Gillian Walker.
Celle-ci choisira alors entre trois possibilités : les charges peuvent être abandonnées ; une contre-expertise peut être autorisée ; sinon, l’affaire sera remise entre les mains d’une commission d’enquête ; mais l’enquête ne pourra avoir lieu qu’avec le « consentement exprès du gouvernement incriminé » et sera menée « en collaboration étroite avec ledit Etat et dans des conditions qui seront déterminées de concert avec lui ».
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